Cette énigme
participe à
considérer l'échelle quantique comme "magique" !
Mais la
loi DUO√5 indique clairement que tout est fixé sur
l'aire 2D
du
BEC-fossile, juste avant l'élargissement des
intervalles
élémentaires,
généré par
l'annihilation de taux α
. Ce taux d'élargissement est la cause de la
constante de structure fine α =
137.035.
Donc cette égalité entre les énergies
de types électrique et massique, a été
figée
à ce moment. Après l'annihilation, l'intervalle
élémentaire est devenu le rayon de
Compton de
l'élecron : ƛe =
r α .
C'est la raison pour laquelle le modèle standard a
fixé (à juste titre) le carré de la
charge de
l'électron selon :
Et la vitesse subquantique :
qui explique
notamment l'effet
tunnel, la non-localité des
spins intriqués et bien
d'autres énigmes . En réalité la
médiation
de particules quantiques entre deux Bodys (épaisseur de
Planck)
passe toujours par le point zéro au centre du BEC qui
mélange tous les pôles de Bodys. Toutes
les
particules quantiques sont couplées aux Bodys avec lesquels
elles partagent leur spin. L'expérience montre clairement
que le
spin n'est pas
local. Comme BELL, il n'y a pas de variable
cachée
locale mais en revanche, il y a bien une variable
cachée purement non- locale.
Elle tisse l'espace-temps selon un
mode dont l'explication est à suivre.
Il
existe une dualité intrinsèque
de médiation du photon, de type
{quantique↔subquantique}
En effet – pour toutes coordonnées dans
un BEC
– , le temps pour la pseudo-traversée d'un
intervalle
(local) est strictement le même que celui à
vitesse co
d'un Bodys.
Ce transfert ne provoque pas de ΔM (habillage
relativiste), car le photon dipolaire est de masse nulle.
Médiation
du photon
dans un BEC
d'espace-temps
A partir du constat de la constante de la vitesse de la
lumière (c),
le modèle standard a construit un modèle en
fixant une permittivité µo unitaire
(puis ramenée aux unités SI soit : µo =
4π
10-7) et une
permittivité εo
=
1 /
c² µo
. Mais si cela à permis de construire un modèle
efficace
pour l'essor technologique, le problème de la cause
de la
médiation dans le "vide" n'a pas été
résolu. Les énigmes non résolues par
le
modèle standard, sont :
a) la cause de cette
constance c
b/ La cause de cette intensité
c) La cause de cette isotropie
d) La structure du tissu d'espace-temps
A partir de la saturation et la mitose du BEC-fossile, la loi
DUO√5
explique (plus que décrit) la structure de l'espace-temps. A
l'échelle cosmologique, l'espace-temps est formé
de
l'enchevêtrement des
ξ2
BEC-fils. La mitose de type fractal les a
éjectés du BEC-fossile (en couches de
vitesses de 0
à 5c) . Le taux d'anchevêtrement des
ξ
galaxies ( 1.54×10
11),
est très serré, contrairement à celui
des BECs formant l'espace
inter-galactiques. Dans les galaxies, chaque BEC-fils recèle
en
son centre, une étoile avec laquelle il est fortement
couplé. C'est ce couplage fort qui est la cause
du resserrement galactique via le lien gravitationnel des
électron-positrons formant les masses visibles. Le halo de
notre
galaxie est mesuré comme attendu à 4 fois plus
grand que le rayon
d'un BEC (1.42×10
21 m). Dans l'espace
inter-galactique, les BECs sont faiblement couplés car leur
étoile hôte est faite de matière noire.
Plus
loin, la cause de la DM et de son taux de couplage
faible,
seront largement expliqués et justifiés en
relation avec
les observations. Ce faible couplage induit un faible taux
d'enchevêtrement et c'est la raison pour laquelle l'expansion
a
prise sur eux sans concerner les BECs des galaxies.
Pour cette discussion on
peut sortir
de la "magie du vide"en se limitant à décrire un
BEC
galactique en oubliant provisoirement son imbrication avec ses voisins.
La coupe d'un BEC-fils (sphérique) ressemble à
une roue
de vélo avec ses rayons dont les
intervalles forment 2
à 2, des triangles équilatérals dont
le
sommet est au centre du BEC. Les "rayons" sont
matérialisés par des pôles oscillants
des Bodys. L'amplitude de chaque pôle, forme le
rayon du
BEC. En l'absence de toute matière, la symétrie
des
pôles, serait parfaite et le BEC serait
indétectable.
C'est le couplage avec la matière, qui perturbe
légèrement sa symétrie en
différenciant
l'amplitude L des pôles en opposition. Ce
Δ
L (Bodys) provoque un
Δ M
(électron-positron) qui est la cause de
l'habillage
de l'électron en particulier et donc de la
matière
en général.
L'intervalle entre les lignes 1D formées par
les pôles de Bodys (les "rayons du
vélo"), il n'y a "rien" qui puisse servir de
médiation. La seule et unique façon de sauter un
intervalle (progresser à vitesse c) est d'emprunter
le
chemin d'un pôle pour passer par le "point zéro
commun" au
centre.
Analogie
Les rails de chemin de fer convergent vers un point commun. Au point
de l'intervalle i
une personne sur une pseudo-passerelle traverserait
à v = 1
m/s. Mais cette passerelle n'existe pas et
la personne fera le
trajet (L = aller-retour à la voie d'en face) en train
à une vitesse 50 fois supérieure dans le
même temps, en passant par le secteur commun
(aiguillage). C'est
ce que fait le photon à
co mais avec une vitesse apparente
réduite à c.
Comme
dans cette analogie, l'intervalle entre Bodys est infranchissable
directement
La vitesse c est l'image
réduite de la vitesse co
des Bodys non directement visibles
La réduction du paquet d'ondes au point d'impact, s'effectue
à v = co
.
Ainsi les lignes de Bodys
sont comme des rails dont le seul lien se trouve au centre du
BEC. Aux limites :
a) un photon se trouve au bord du point zéro
commun soit
un intervalle égal à l'épaisseur d'un
Bodys
(longueur de Planck). Le temps pour aller au point commun est le temps
de Planck. Donc
: dl /
dt = Cte.
b) un photon se trouve au bord du rayon du BEC, soit un
intervalle
égal à la longueur de Compton de
l'électron. Le temps pour aller
au point commun est le temps de l'électron. Donc
: dl / dt = Cte.
C'est le même
processus pour
l'intervalle radial. La variation conjointe du temps et de l'espace,
explique la constante de la vitesse de la lumière
dans le
tissu d'espace-temps et non dans le "vide".
La cause de la constance
de la
vitesse de la lumière est déterminée
par ce
franchissement d'intervalle via le poiont zéro. La
dualité {onde↔corpuscule} rend compte de
l'évanescence du mode ondulatoire. C'est
son aptitude
à s'étendre dans le réseau des Bodys
subquantiques. L'aspect corpusculaire est la partie quantique qui se
déplace à vitesse c. L'onde n'est pas
"statistiquement"
répartie mais physiquement étendue. La
perturbation
(ou mesure) la recentre non pas instantanément mais
à vitesse subquantique, co. C'est l'effondrement du paquet
d'ondes. Le photon fonctionne en mode dipolaire ce qui annule ces deux
masses opposées. Ces masses sont plus faibles que
celles des électrons, car elles suivent la loi
universelle
: ML = Cte. Comme l'ampitude spatiale L d'un photon-onde, est
très grande la masse de ses pôles est
très petite
mais non nulle. Elles s'annulent parfaitement dans le cadre de son mode
dipolaire. Cette masse est intermédiaire entre
celle d'un pôle de Bodys et celle d'un
électron. Le
photon est un transfert
(corpuscule→Bodys) à
très longue période (échelle
cosmologique). Son
impulsion [M L/T] dépend de sa
fréquence [1/T]. Elle
apparaît lors d'une perturbation causée par
exemple par
une voile solaire à qui le photon cède son
impulsion.
La médiation du photon dans le contexte des BECs
enchevêtrés
La transition d'un BEC à l'autre, passe par un intevalle
normalisé ou plus petit dont la perturbation porduit un
impact
négligeable de la vitesse c. Le changement du centre de
point
zéro commun passe totalement inaperçu.
Voir plus
loin, les conséquences mesurables de l'expansion en couches
de
vitesses, des BECs intergalactiques. La perturbation (ou
habillage) n'affecte pas l'annulation des masses de
ses pôles. C'est pour cela que le photon peut
atteindre la
vitesse de la lumière, c.
La
cause physique de l'effet relativiste
L'électron
ou le positron fonctionne en mode monopolaire et c'est pour cela que
leur
masse est révélée (statut de localité).
L'augmentation
de sa vitesse
génère une augmentation de son aptitude
à perturber la symétrie du Bodys avec
lequel il est
couplé. Ce ΔL du
Bodys provoque un
transfert de masse locale ΔM
et donc une réduction de son amplitude locale ΔL
. C'est
la cause de l'effet relativiste. La masse initiale d'un
électron, doit transiter dans
un Bodys avec un débit relatif à sa masse au
repos +
celle de son taux d'habillage. Donc plus il augmente sa
vitesse,
plus la perturbation de symétrie augmente et plus
sa masse augmente. C'est cela qui l'empêche
d'atteindre la vitesse de la lumière comme le
photon.
Ainsi, toute la matière est soumise à la loi
relativiste
très bien décrite par Einstein et
Lorentz.
Cependant cette formule
n'est pas
complète car elle implique un coefficient de Lorentz potentiellement infini,
ce
qui n'est pas concevable en physique. La loi DUO√5 montre que
l'énergie de masse confinée d'un pôle de Bodys est la suivante :
En effet le ratio ξ4 est justifié par le produit de la faible masse d'un pôle de Bodys (ξ² fois inférieure) alors que le carré de la vitesse co² est ξ6 fois supérieur. Aux limites, le passage par le canal
1D/2D du couplage entre un électron et un Bodys, sature
à
partir de √ξ4
= ξ².
Ainsi, le franchissement
à basse vitesse, d'un
intervalle élémentaire par un
électron, passe par
le débit de masse dans le canal 1D d'un
Bodys. Ils
partagent la même impulsion intrinsèque
car la petite
masse d'un pôle est compensée par sa grande
vitesse.
mpôle
RBEC
/ te = me ƛe /
te
|
Comme sa vitesse augmente, le taux de perturbation de
symétrie spatiale du Bodys ΔL, reçoit en échange un ΔM
qui augmente encore son taux de perturbation. Sans la limite du canal
(1D/2D) de couplage, le coefficient de Lorentz deviendrait en
effet, infini. Mais il n'existe pas d'énergie infinie. Il
faut
rappeler que le couplage {électron↔Bodys}concerne
également le spin. L'expérience d'ASPECT montre
clairement la causalité non-locale de l'intrication
de
spin.
La
cause de la fusion en neutron-proton
Le proton est la seule et unique particule composite stable
à
l'état libre ! La fusion des paires
électron-positrons stables (ex-pôles
séparés) ne se fait pas par hasard en proton dont
la
masse mesurée en unité électron, est
: P =
1836,1526718 . Il existe une relation simple (de cause à
effet) entre P et les deux
signatures de l'univers : ξ =
1,54581988983×1011 et α
= 137,0359991832.
La masse du proton P est
relative au ratio entre celui de la mitose
ξ
et celui taux d'annihilation
α4.
La puissance 4 signe le très faible intervalle
entre les 4 groupes composant le proton. Voir
achitecture
du proton.
La partie neutre du neutron est la même que celle du proton
(1840
unités), mais il apparaît plus tard, dans
le cadre de
la fusion nucléaire au sein des 2 ×
ξ²
étoiles groupées en
ξ galaxies.
Si l'intervalle élémentaire tangentielle avait
été
ξ²
fois plus petit que celui (équlibré) des
BEC-fils, alors
il aurait été calibré à la
longueur de
Planck ! Sans la mitose et l'annihilation, le proton aurait
donc
la masse de Planck soit
ξ²
fois la
masse unité de l'électron !
Planck
= ξ² unités électrons
|
C'est la cause physique de la masse de Planck issue de ML= Cte
Le rayon du proton est
mesuré à rP = 8.4123564×10-16
m. Ce rayon dépend essentiellement de la masse (en
unité électron) d'un seul groupe de mG =
1836.15 / 4 = 459.037
On retrouve la
cohérence avec
les 4 groupes discutés plus avant ainsi qu'avec les
3
intervalles polarisés induisant 3 quarks en relation avec le
positron clélibataire. La fiusion des paires
alternées
d'électron-positrons, revient à une superposition
des
charges et donc à leur annulation. Cela veut dire que les
liens
hypeymétriques des Bodys de la première couche du
BEC,
sont rompus. Mais il faut déjà
répondre à
la question relative à la cause de cette
fusion transversale.
La mesure
du rayon du proton confirme les 4 groupes du proton
On
verra comment les 4 groupes lèvent naturellement
l'énigme de l'anomalie du moment magnétique
La
charge du proton est strictement celle du positron
Le
boson de
Higgs reflète une transition de masse issue des Bodys
couplés mais n'explique pas la masse stable du
proton
Les
quarks sont induits par les 3 intervalles polarisés mais
n'expliquent pas la masse (voir muon sans quark)
Le
lien {intervalles → Nb quarks} est
vérifié sur 12 particules
La
loi de
KOIDE élargie, confirme la paire
électron-positron
comme composant de base de toute la matière
accueil
Saturation
des dipôles →
séparation → monopôles
Fusion →
mitose du BEC-fossile
L'espace-temps du BEC-fossile, est une trame de
Bodys-zéros
car dipolaires. La séparation des pôles
de Bodys de
la couche externe, les rend en état monopolaire, ce qui
révèle leur couple [ML]. Le terme
"séparation" est
une simplification du processus de réduction
de localité. En réalité
l'hypersymétrie (non locale) continue d'agir via la
gravitation.
Les monopôles inter-Bodys chacun séparé
de son
alter-égo, fusionnent en proton pour former la
partie
neutre où seules les charges sont masquées.
On revient sur le ratio
ξ4
{Coulomb
/ Gravitation} déjà cité plus haut :
e²
α
/
(4π
ε0
G me²) = ξ4
|
Le ratio
ξ4
indique que l'intervalle tangentiel
élémentaire
ƛeo de
la couche externe est
ξ
fois plus faible que l'intervalle radial fixé au rayon
de Compton de l'électron
ƛe.
Les pôles voisins (+/-) de charge
e
fonctionnent comme deux conducteurs parallèles parcourues
par des courants inversées :
i²
=
α
e² / te²
=
2.12×106 A²
|
On obtient la force de Laplace qui tend à écarter
les
pôles voisins pour cet intervalle réduit et
agissant sur
le rayon du BEC :
avec µoo,
la perméabilité des Bodys augmentée du
facteur ξ2 (reflet
de ce qui est vu au chapitre traitant du rayon
classique). En
revanche la force de Coulomb tend à rapprocher les
pôles voisins selon :
F =
– e²
α
/ 4π
εo
ƛeo² = 5.066×1021 N
|
Au
moment précis du rebroussement, la vitesse des
pôles passe
par zéro et donc le courant passe également par
zéro. Ainsi la force de Coulomb amorce la fusion et
donc la
séparation des pôles par masquage de
leurs charges
opposées. On verra que ce même processus de
masquage (et
démasquage) des charges (sphériques 2D)
empilées,
génère la force forte dans le proton. En effet,
le
début du démasquage possède un
intervalle si
faible, qu'il explique la courbe particulière de la
force
forte. La réduction d'amplitude de facteur
ξ2
augmente
la masse des pôles du même facteur et ils
deviennent les
paires électron-positrons. S'agissant des couches
intérieures, les Bodys restent liés et formeront
l'espace-temps après la mitose. Donc la
vitesse
radiale d'éloignement devient la vitesse
c à
la première étape (sur 5) de mitose
fractale . C'est
la cause de l'expansion en couches de vitesses.
La
matière
(faite d'électron-positrons)
est héritée de
l'espace-temps (tissé de Bodys)
par réduction
de localité des pôles
de la couche
externe.
L'annihilation primordiale et la fusion en proton,
ont augmenté les intervalles
élémentaires
Ces "trous", entourés de filaments de
matières,
sont visibles à l'échelle cosmique et les ratios
sont
compatibles
L'estimation courante du nombre de photons de l'univers est
compatible avec ξ8
paires annihilées = 6×1089
L'estimation de la masse de l'univers est compatible avec ξ8
/ α²
paires rescapées = 3×1085 ~
3×1055 kg
L'estimation de la masse d'une étoiles
primordiale est compatible avec ξ6
/ α²
paires rescapées ~ 1033
kg
Ces dernières
– 600 fois
plus massives que le soleil – avec une
durée de vie
très courte, sont à la base des
étoiles de
seconde génération
Pourquoi
les
BEC-fils ne saturent pas au point de rebroussement ? Tout simplement
à cause de la croissance du facteur ξ et
donc ξ²
au carré, de l'intervalle élémentaire
! En
posant que le zéro ampère ne dure que le temps de
Planck,
l'acclélration est telle que la distance de rapprochement
est de
l'ordre de 10
-36 m,
largement inférieure à l'intervalle
élémentaire ƛe =
10-13
m. C'est la mitose qui a rendu isotrope cet
intervalle
élémentaire au bénéfice de
l'équilibre de densité d'un BEC-fils ou
BEC-étoile.
accueil
Expansion
et accélération.... locale
Les 5 étapes
de mitose selon
la suite de Fibonacci {1 → 2 → 3 → 5
→ 8} cumulent
5 fois la vitesse c. La loi DUO√5 montre que la fusion en
proton
est
affectée par le nombre d'Or spécifique = 8/5.
Ainsi dans
une géométrie euclidienne, les couches
de vitesses
de 0 à 5 c, impliquent que chaque point de l'espace semble
être le centre de l'expansion. En
réalité la loi
DUO√5 montre que l'isotropie est
légèrement
altérée. C'est bien ce qui est
observé
récemment. La loi DUO√5 montre que dans
l'échelle
des
vitesses radiales, notre galaxie se situe dans une couche
à
environ 0,51 c. Elle est donc en retard d'expansion par
rapport
à la vitesse moyenne de 2,5 c ! Les BECs locaux
(enchevêtrés-couplés entre eux) sont
amenés
à accélérer pour se conformer
à la vitesse
moyenne. Hors horizon, l'expansion des BECs en avance,
ralentissent pour satisfaire la loi de
l'Hypersymétrie.
DUO√5
montre que la vitesse moyenne d'expansion, ralentit sous l'action de la
gravitation.
Donc si l'univers stochastique n'a effectivement pas de centre, notre
Bulle-univers en a un et il est observé ! C'est
l'immense
et unique "vide" de plus d'un milliard
d'années-lumière, laissé par
le BEC-fossile
qui est observé en direction de l'Eridan.
La
dualité de localité s'exprime à toutes
les échelles
Ainsi, cet état d'univers (observable en partie) est une
bulle
entourée d'une infinité de Bodys-zéros
stochastiques. Elle prend sa source dans la synchronisation parfaite
(entropie de désordre nulle) du BEC-fossile dont la
mitose
fractale a généré l'expansion. Cette
expansion est
accompagnée d'un accroissement de l'entropie de
désordre
dont le terme est le retour à l'état
stochastique.
Si à l'échelle d'un Bodys stochastique, le
zéro
symétrique (non absolu) est parfait, il l'est
également à l'échelle de la
Bulle-Univers sous la
forme hypersymétrique. La somme globale d'énergie
de
cette Bulle-Univers est strictement nulle. L'énergie
gravitationnelle est strictement égale à
l'énergie
de masse + l'énergie
cinétique.
Il n'y a
pas d'énergie magique ou mystique
La
courbe
de l'évolution de la Bulle-Univers,
montre la position de notre Galaxie à 7 Gyl, du BEC-fossile.
Cela correspond à l'âge de la bulle-univers en
expansion, soit 13.8
Gy. Ne pas confondre avec l'état stochastique qui n'a pas
d'âge, puisque éternel.
Cette distance est donnée par l'amortissement en
1/r², des
photons relatifs à l'annihilation primordiale où
est
comparée la racine
carrée du ratio de température de
l'électron (10
9 K)
à celle du fond cosmolgique actuel (2.75 K). Plusieurs types
de relations, concordent pour situer l'amplitude
R
de l'osccilateur-Univers à environ 296 Gyl. Ce rayon ultime
correspond à une sphère creuse où tous
les
BECs-fils sont les éléments tangents de la couche
ulitme
en 2D. Leur dislocation iminente les amène
à se
confondre dans l'état stochastique d'univers. C'est la
clé de la dualité entropique (de
désordre).
Pourquoi
un seul BEC-fossile ?
Par rapport au non décompte du temps de
l'état
stochastique, le temps relatif aux 296 Gyl de la Bulle-Univers est
dérisoire. Cet état stochastique
génère
un nombre indéterminé de
BECs en cours de
synchronisation. En fixant arbitrairement la
fréquence
moyenne des Bodys stochastiques à celle des Bodys
synchronisés (1 /
te = 1/
1.28×10
-21
s), les statistiques montrent qu'il faut des milliards de fois la
durée de cette Bulle-Univers pour obtenir
la synchronisation de 10
123 Bodys. De
plus, il existe
un facteur d'influence régi par le ratio de
densité
externe (stochastique) et interne (synchronisé). Ce facteur
d'influence génère une
accélération du
flux de synchronisation au-delà d'un certain seuil. Ces deux
paramètres confondus, indiquent que la constitution de
plusieurs
BECs contemporains est quasi improbable.
L'idée
des multivers est une chimère
Ce même
facteur d'influence
joue une rôle inverse au cours de l'expansion. Au terme de
l'expansion le ratio surface / volume augmente fortement. Ainsi,
l'influence du désordre stochastique
accélère avec
le temps. On retrouve les mêmes comportement dans le cadre
des
cellules procaryotes : a) la mitose ; b) le facteur d'influence entre
le désordre extérieur et l'ordre
intérieur ; c) la
peau par qui transite le facteur d'influence.
L'état
stochastique n'a pas de centre ni d'espace-temps
L'état
en expansion est euclidien avec un centre visible vers l'Eridan, le
BEC-fossile
accueil
Matière
noire → croisements et relocalisations partielles
Quel est le processus de
la mitose-expansion ? On
peut comparer chaque étape de mitose fractale, à
une
explosion isotrope. Il n'y a qu'une partie dont la trajectoire embrasse
un cône centré sur l'axe radial. A
l'étape
suivante, le processus recommence et seulement une petite partie cumule
les 5 étapes de vitesse c. La plupart
des BECs-étoiles prennent des directions
qui les
amènent à se croiser selon des angles variables.
Si
l'angle est de 180°, alors le taux d'annihilation est de 100%.
Si
l'angle est de 1° alors le taux d'annihilation est
réduit
à 1% . L'expérience locale
d'annihilation – de
type binaire donc à 100% – ne dit rien de la
réalité non-locale car celle-ci est
proportionnelle
à l'angle de la séparation originelle.
Que deviennent les paires {électron-positrons}
(constitutives de
la matière) lorsqu'elles sont altérées
par une
annihilation partielle ? Cette perte d'intégrité
leur
fait perdre leur aptitude à former des protons et donc de la
matière visible.
ANALOGIE
Les
paires électron-positrons passent de l'état
"brique"
à l'état "gravats" et ne peuvent donc rien
construire
Les observations confirment que les croisements de galaxies, sont
toujours accompagnés de nuages de matière noire.
On peut
également vérifier que la température
des amas de
galaxies, est fonction de leur taille. En effet, cette taille
correspond à un angle originel sur le BEC-fossile et donc
à un taux d'annihilation maximum duquel dépend la
température. La température d'un
électron est de
~10
9 K . La loi DUO√5 montre que la
température des amas est
toujours fonction de leur taille. Selon DUO√5 la
amtière noire
(DM) est globalement 60 fois plus intense que la matière
visible
(VM). Dans les galaxies, ce taux est réduit à 5
fois.
Voir ce lien du CEA qui
indique clairement que la matière noire apparaît
après les
collisions de galaxies. On trouve cette phrase de
Frédéric
Bournaud : « le
fait que les débris
d'une collision
de galaxies
contiennent deux fois
plus de matière
invisible que visible est une totale surprise ».
→
Contrairement à ce que dit l'expérience locale,
l'annihilation dans l'univers est très majoritairement de
genre analogique
et non binaire
Au terme de la Bulle-Univers, les deux genres se confondent pour le
retour inexorable à l'état stochastique
via les
photons
La loi DUO√5 montre que le taux de couplage {DM
↔ Bodys}
est nettement réduit. Cela veut dire que les
galaxies ayant
une forte concentration de DM, auront un halo (ensemble de BECs
enchevêtrés) plus étndu. Or le
même lien
du CEA indique également que les galaxies naines
– issues
d'une collision de galaxies – ont
un halo très
étendu. Il dit également : "les disques
des galaxies
contiennent bien de la matière noire, contrairement aux
prédictions
des modèles cosmologiques".
La DM
créée au sein des collisions, migre vers
l'extérieur du halo et le fait croître
Le faible
taux de couplage d'un BEC-étoile-noire, le fera migrer vers
l'espace intergalactique
Toutes ces observations trouvent une explication rationnelle car elles
découlent directement de la loi DUO√5.
Une galaxie visible ne participent pas à
l'expansion
car le taux élevé de son couplage
inter-BECs, tend
à resserer leur enchevêtrement.
L'espace
en expansion, est fait de BECs-étoiles-noires à
faible couplage
Le
couplage inter-BECs, passe par {matière 1 → BEC 1
↔ matière 2 → BEC-2}
Les
paires dégénérées par la
relocalisation
partielle, forme des étoiles noires sans fusion
Elles sont observées sous forme de loupes
gravitationnelles
Le rayon R
H du halo d'une galaxie visible (comme
la nôtre) répond strictement à :
exprimés en
milliers d'années-lumières
Cette observation
confirme le rayon
d'un BEC qui est induit par l'amplitude des pôles de Bodys.
L'espace-temps en expansion, n'est pas naïvement un "fluide"
qui
s'étire. Il est constitué de BECs
enchevêtrés dont le faible couplage leur permet de
s'étendre tout en gardant :
1/ le lien gravitationnel
2/ des intervalles élémentaires constants qui
induisent
la constance de la vitesse de la lumière.
Le CEA observe que
les galaxies naines ont un halo très grand !
Cela est conforme à DUO√5, car elles
contiennent beaucoup de DM (donc à faible couplage)
La fin de l'expansion de la Bulle-Univers (dissipation
complète
dans l'état stochastique), s'établit
au rayon
R,
y compris avec la relation d
'Eddington
modifiée DUO√5.
DM
produite dans les galaxies
Le centre des galaxies
est souvent
occupé par un trou noir géant. Cela signifie que
plusieurs BEC-étoiles ont fusionné et partagent
le
même "point zéro". Il y a ainsi, deux
conséquences
:
a) les intervalles élémentaires sont
réduits;
b) la perturbation de type {matière → Bodys} est
plus intense.
Cette intense perturbation de la symétrie des Bodys de type
ΔL,
se traduit par un échange de
ΔM
vers
la matière, en vertu de ML = Cte. Ce sur-plus de masse
augmente
le taux de perturbation jusqu'à ce que se produise
une
séparation des pôles de Bodys. Cette
séparation
– qui se produit autour du point zéro –
est
très différente de celle relative au BEC-fossile.
En
effet, l'éjection issue du pourtour du BEC-fossile se fait
à la même vitesse que les BECs d'espace-temps qui
entre en
mode mitose. Il n'y a donc pas d'effet relativiste.
Concernant le centre galactique les pôles sont
éjectés avec une énergie relativiste,
car
cela se passe principalement dans le cadre d'un espace-temps existant.
Ces éjections sont sous forme de paires
électron-positrons ou de protons,
éjectés dans toutes directions.
Certains BECS (les plus atteints) suivent la
matière
éjectée.
La majeure partie de ces paires éjectées, entre
en
collsions avec des angles relativement faibles et passent donc en mode
altéré, i.e, la DM. Cette DM
migre vers
l'extérieur du halo car son taux de couplage est faible.
Avec
certains BECs, elle vient nourrir l'espace inter-galactique, en
BEC-étoiles noires. La loi DUO√5 montre que la
"peau" du halo
représente une nette transition entre le taux de couplage
fort
interne et celui externe qui est faible. Cela se traduit par un
"embouteillage" aux limites du halo qui est d'ailleurs
observé
sous la forme d'un "
cisaillement".
Il y a cependant un amalgame qui est fait entre le contenant du halo
(BECs) et son contenu migratoire (DM).
L'énigme
des positrons relativistes et stables et des "rayons
cosmiques".
Si une partie
majoritaire des paires
électron-positrons entre en collision et deviennent de la
DM,
une partie minoritaire de ces paires, arrive sur Terre à des
vitesses relativistes. Une majorité a fusionné en
protons
ou noyaux d'hélium. On mesure des énergies
relativsites
jusqu'à 10
20 eV. La loi
DUO√5 montre que cette énergie est bien celle d'un
proton ayant
ξ
fois
son énergie au repos. C'est l'énergie
libérée ou
révélée au niveau
quantique, relative à 1841 pôles de
Bodys. Ces
"rayons cosmiques" entrent en collisions avec la haute
atmosphère et crééent des gerbes de
désintégrations jusqu'aux muons. Il est
très
important de réaliser que ces particules
séparées
(statut de
non-localité)
ont un statut final (majoritaire) qui s'exprime par la
stabilité
avérée des neutrinos muoniques. Mais les
collisions génèrent une petite partie de
créations
locales
qui amènent à l'émergence de
paires électron-positrons
instables.
accueil
Anomalie
du moment magnétique de l'électron
Le modèle
standard, en posant la relation avec la constante de
Planck
ħ
avec le facteur de landé
g =
2.002319304361 :
Comme
g /
2 =
αe
cela revient à poser :
Ainsi il convient de
mutliplier par le facteur : αe =
1,00115965218218 pour égaler la valeur mesurée
de µe
. Mais la loi DUO√5 rappelle que la constante de
Planck ħ
découle des paramètres universels de
l'électron (me
ƛe)
:
En remplaçant
ħ / me par
les paramètres dont il est issu, on obtient :
Cette forme plus
fondamentale, révèle – selon :
me
ƛe =
Cte – que l'amplitude
ƛe
de l'électron est diminuée du facteur
αe
car sa masse mesurée est augmentée
par le
ΔM
de son habillage issu du couplage avec un Bodys.
La charge
e
=
f(me
ƛe) reste
constante, comme
ħ.
Dans la forme standard , cela est masqué par la constante de
Planck ! Cela veut dire que le taux d'habillage
σe de
l'électron (libre et au repos) est égal
au facteur correcteur
αe
de
son moment magnétique. Le taux d'habillage du proton
s'exprime
par la mer de fermi. La loi DUO√5 explique son
énorme taux
d'anomalie magnétique par sa conformité
en 4
groupes.
Le Modèle Standard propose empiriquement
que la cause du facteur de l'anomalie du moment
magnétique
de l'électron, vienne de ce ratio :
αeo
=
1+ 1 / 2π α
= 1.00116140973
|
qui est proche du facteur
mesuré
: 1.00115965218128(17)
(Codata 2018). Ensuite il procède à de
multiples et
complexes corrections (selon les diagrammes
de Feinmam) pour
arriver à approcher la précision de la mesure
soit
: 1.001159652153. Mais cette approche non physique, a fait
dire
à Feynman :
"il aura
fallu cette supercherie pour sauver la QCD"
Peu fier de son approche,
le
modèle standard appuie son argumentation sur le
résultat assez proche de l'expérience :
mesure expérimentale
= 1.00115965218218(17)
théorie
standard =
1.00115965215
|
Avec DUO√5 tout
est différent : la
valeur brute du facteur d'anomalie, est directement extraite
d'un des 4
groupes de la partie neutre du proton (1840 unités
électron) qui recèle la très grande
majorité des paires électron-positrons.
Cette majorité influe fortement sur l'habillage de
l'électron libre. Cet habillage transite par le canal 1D du
couplage entre la structure 1D du Bodys et celle 2D du proton. Les bosons W et H et la cause du proton
montrent que le flux d'habillage passe par le sas 1D/2D soit
la racine carrée de ξ.
αeo
=
1+ P / 4
√ξ
=
1.001167533543
|
Cette approche
– de nature
physique – tient compte de la grande influence des
protons,
sur l'électron libre. Ainsi, la correction ne peut
venir
que de l'influence des 1840 unités neutres en relation avec
le
nombre central
Φ
=
23
relatif à l'extension de la loi de KOIDE,
d'une part et
d'autr part, à la série de corrections en
puissance de
1/αn.
A
=
1840 / 4Φ ; B
=
1840 / 2(Φ+1) ; C
=
1840 / (Φ+4)
|
αe
= αeo
–
A / α3
– B /
α4 – B / α5 + C / α6 = 1.00115965218128
|
On trouve ainsi – via la loi de KOIDE – un résultat nettement
plus
précis que celui du modèle standard.
Expérience = 1.00115965218218(17)
|
Loi DUO√5 = 1.00115965218218
|
L'approche standard est
basée sur une
coïncidence de type numérique entre
π et
α.
C'est de la pure numérologie. Ensuite elle
opère
des corrections fines avec une très longue et
complexe
démarche dont l'opportunité
est constestée
par Feynman lui-même. Enfin son résultat final est
moins
précis que celui opéré par
DUO√5, sur des bases
physiques.
accueil
Anomalie
du moment magnétique du muon et proton
Cette relation inédite de la masse du muon (206.76829 ue (ou
105.65836 MeV), permet de rallonger la longue liste
des
liens relatifs à la loi de KOIDE élargie
:
mµ
= 1842 ln(ξ8) / P
=
206.7682983
|
Concernant
l'anomalie du
moment magnétique du muon, mesurée
à :
1.00116592080(60), le modèle standard est en
échec pour
égaler cette mesure avec une proposition à :
1.001165917
93(68). La loi DUO√5 repart simplement de
la même
base que celle de l'électron, via les couches neutres du
proton
qui sont réputées hyper influentes sur toute la
matière :
αeo
=
1+ P / 4
√ξ
=
1.001167533543
|
et avec :
il vient directement ce résultat inédit,
précisément dans la fourchette d'incertitude de
la
mesure :
αµ
= αeo
– k P/
4 mµ α4
=
1.00116592109
|
Le ratio des
masses joue un
rôle fondamental dans l'amplitude radiale dans l'axe
de la charge célibataire
générant le moment
magnétique. Cela veut dire que l'axe radial de
l'unité
célibataire chargée (onde
spéhérique) se
trouve légèrement en retrait du rayon du muon.
Mais il ne
faut pas confondre cet axe radial avec l'étendue radiale de
son
influence. Ainsi , l'habillage du muon :
207 / mµ
= 1.00112058579 est inférieur au facteur d'anomalie
car
l'action de sa charge célibataire est
légèrement
au-delà de son rayon physique.
Pour le proton,
si la
charge se mesure effectivement jusqu'à son
rayon :
rP ,
son efficacité relative à son moment,
dépend de la
position moyenne de son positron confiné. Son
énorme
anomalie
:
αP =
2.79284735 indique clairement que la constante de Planck n'est
pas adaptée pour s'accorder à la mesure du moment
magnétique. En posant son rayon selon la loi ML =
Cte et
des 4 groupes :
rP =
4
ƛe
/ mp
=
8.41235645 × 10-16 m
|
On note que la mesure du
rayon est cohérente avec les 4 groupes
sphériques neutres et empilés
(impliquant 3 intervalles polarisés et donc 3
quarks).
µP
= αP
e ħ /
2 mP = 1.4106068
× 10-26 A m²
|
Cette énorme anomalie (
αP =
2.79284735) vient encore de l'emploi à tort du ratio
ħ / mp qui
n'est valable que pour les paramètres de
l'électron
! Selon la loi KOIDE généralisée, on doit
retrouver l'anomalie du positron célibataire (idem au signe
près de celle de l'électron) auquel se rajoute la
faible incidence relative au nombre de couches neutres (1840) :
il
vient que le ratio d'anomalie du proton est semblable à son
ratio d'habillage (1.002639937) tout comme l'énectron :
αp
= αe
+1840 k / α4
=
1.002639937
|
Dualité
gravitationnelle & hypersymétrie
La loi DUO√5 explique clairement la source de la gravitation
par la
séparation des pôles de Bodys sur l'aire du
BEC-fossile.
Cette logique est confirmée par le ratio
précis
entre la force coulombienne et la force gravitationnelle. Les
pôles séparés ont conservé
leur impulsion
radiale finale (vitesse c) ce qui a entraîné la
mitose
des BECs via le couplage matière → Bodys
→ BEC.
La perturbation issue de ce couplage a
révélé
l'espace-temps (les BECs enchevêtrés) qui
était
juste potentiel dans l'état précédant
où
régnait l'hypersymétrie parfaite. La
séparation a révélé
le temps
élémentaire de chaque pôle
(électron-positrons). Cet ensemble – né
de l'aire
du BEC-fossile – forme la masse consolidée qui se
comporte comme un oscillateur géant avec une amplitude maximale
et une constante de temps relative à la racine
carrée de
la masse totale.
L'hypersymétrie est active à
différentes
échelles cosmiques. Toutes les masses en expansion sont
liées entre elles par la gravitation via la chaîne
de couplage :
matière↔BEC-1↔matière↔BEC-2.
La somme
totale de l'énergie, est nulle. A l'échelle d'un
BEC-étoile, la majeure partie de la masse se situe
au centre.
Elle perturbe la symétrie des Bodys du BEC-hôte.
Cela
induit une asymétrie d'habillage ΔM
qui se traduit par un
racourcissement d'amplitude ΔL
et donc du rayon du BEC.
Un tel phénomène induit une faible force
centripète constante dans le BEC. Cette force est
révéle par la sonde Pioneer 11 envoyée
en avril
1973. Les données indiquent une
décélération de
𝛾
= 8×10-10 m/s² . La
composante radiale de la vitesse d'éloignement
était alors de : v ~ 12200 m/s.
Le ratio entre le nombre de
pôles devenus matière et le nombre de
pôles
d'un BEC est de :
1 /
ξ3.
Comme la migration de la DM entrîne les BECS
visés, ce
ratio reste à peu près constant au fil du temps.
La
constante de temps te
d'un
BEC est celle d'un électron, ex-pôle de
Bodys. sa vitesse est ξ3
fois la
vitesse c mais comme sa taille est
ξ3
fois celle de Compton de l'électron, le temps d'un cycle
leur ai commun.
𝛾 = vo / π ξ3
te ~
8×10-10 m/s²
|
Ce gamma est proche de
celui mesuré ; vo =
v + dL/dT, la
variation de la progression radiale qui reste toujours autour de
l'unité (v1 = 1) si on néglige l'effet
relativiste. C'est
sensiblement le cas pour la Terre dont la compsante radiale de la
vitesse, est relativement faible
:
𝛾v1
=
v1
/ π
ξ3
te ~
7×10-14 m/s²
|
Pour une action classique du soleil (M = 2×1030
kg) agissant en 1/r² sur la Terre
avec D = 1.5×1011
m.
𝛾T
=
GM /
4π
D² ~ 4
× 10-4 m/s²
|
Sur la Terre, la gravitation en 1/r²
est 10 milliards
de fois plus forte que la composante centripète du BEC. Mais
il y a d'autres
observations énigmatiques qui
viennent conforter cette action centripète constante
relative aux BECs.
La seconde énigme, concerne le fameux
cisaillement de la DM observé aux limites du halo. Si son
action au niveau de
la Terre, est négligeable, ce n'est pas le
cas au
niveau du rayon R = 1.42×1021
m, d'un BEC ! La composante classique donne :
𝛾G
=
GM /
4π
R² ~ 5
× 10-24 m/s²
|
Au niveau du rayon du
BEC, comparé à : ~
7×10-14 m/s²,
le ratio est énorme (~1010).
On comprend ainsi l'embouteillage qui freine la
migration de
la DM vers la limite extérieure du halo. C'est
comme l'embouteillage
à un péage où la circulation
redevient fluide
à l'aval du péage. En effet, cette force ne
s'exerce plus au
delà du halo.
La troisème énigme, concerne le temps
extrêmement court de formation des premières
étoiles qui sont 330 fois plus massives que le
soleil. La loi DUO√5 indique que
chaque BEC est l'hôte (ou matrice) de formation
d'une étoile. Ainsi, le gaz
d'hydrogène réparti dans
chaque BEC, est soumis
à un gamma moyen de : ~ 7×10-14 m/s².
Puis dans un second temps, avec la contribution classique, ce gamma
forme une étoile dans un temps de l'ordre
de 200
millions d'années selon :
t²
=
R / 𝛾.
Avec la seule contribution de la composante en
1/r² de G, le gamma serait
limité à : ~5×10-24 m/s²,
et le temps d'accrétion se compterait en milliards
d'années.
La quatrième
énigme est
la différence entre l'espace-temps galactique (sans
expansion
grâce au couplage fort) et l'espace-temps
inter-galactique où
l'expansion déchevêtre les
BEC-étoile-noires qui ont un couplage faible.
La cinquième énigme est relative à
l'élasticité des couches de BECS en expansion.
C'est le
couplage faible des BEC-étoile-noires qui assure cette
cohérence.
Tout comme les photons, la médiation de la gravitation passe
par
le tissu de Bodys des BECs.
La médiation
gravitationnelle s'effectue à la vitesse (quantique) de la
lumière, comme les photons
La
médiation inter-BECs s'effectue à la
vitesse (subquantique) des Bodys soit ξ3 plus rapidement
que la vitesse c.
Le classement de DIRAC distinguant les fermions des bosons a
été établi sur la base
d'expériences
locales bien réelles. Localement on évoque la
"création" d'une paire
électron-positron puis de son annihilation. Il ne s'agit en
fait d'une extraction subquantique (Bodys) via un
apport d'énergie. Cette extraction locale n'a rien
à voir
avec ce qu'est l'ensemble de la matière stable, faite de
protons
fusionnés. A cet égard le modèle
standard indique
que les atomes sont fait de "protons et de neutrons" alors que
la
loi DUO√5 indique que le nombre d'électrons
orbitaux est
strictement égal au nombre de positrons
célibataires, au
sein du noyau de l'atome. Nous verrons que l'émission d'un
neutron (instable) ne présume en rien de son état
confiné dont il est issu. Il en est de même pour
les
neutrinos. La non-localité (en
réalité, une
localité élargie qui concerne tout
l'univers),
implique la notion de séparation spatiale qui
échappe
totalement à l'expérience locale. Ainsi le
modèle
standard – avec sa dichotomie locale entre fermion
et boson – est sur
une voie sans issue.
Même les électrons orbitaux visibles, ne
réprésentent qu'une partie infime de la
réalité physique. Toutes les relations
KOIDE-MAREAU
l'attestent. Ils sont en réalité dans un
état
lié avec les positrons célibataires
confinés dans la partie neutre du
noyau.
La loi DUO√5 montre qu'il existe des états
dipolaires qui masquent (ou annulent) MLQ pour
former le zéro physique par symétrie. Cela
concerne :
-Le Bodys subquantique : c'est le zéro physique
hypersymétrique via l'état lié de ses
deux
pôles contraires. C'est l'état fondamental
"zéro symérique" et ultra
majoritaire de l'Univers (dans sa dualité
d'états)
- Le neutrino quantique : a) le neutrino
électronique formé d'une paire
électron-positron
stable (création non locale) comme deux
pôles
opposés. b) les neutrinos muoniques et tauiques
possèdent
plusieurs paires opposées. Ils forment une masse nulle
qui peut fluctuer
en fonction des perturbations.
- Le photon : ses pôles opposés
ne comportent pas
forcément de valeurs entières de paires
électron-positrons, mais des paquets d'énergies
opposées qui s'annulent,...... hors perturbation. C'est le
vecteur du
retour à l'état Bodys.
La loi DUO√5 montre qu'il existe une
dualité particulaire sous forme
monopolaire.
- les paires instables (formées localement) faites d'une
partie
neutre majoritaire où seules les charges ont
masquées.
- les paires stables (pôles
séparés) formant
le proton et faites d'une partie neutre majoritaire
où
seules les charges ont masquées.
Ainsi cette égalité inclut un neutrino
électronique de masse nulle, dont les 2 pôles sont
présent dans cette relation :
neutron électron
neutrino
muon tauon
proton
|
1844
= ( 1 + 2
+ 207
+ 3481 + 1841 )
/ 3
|
Lorsque le neutron
devient
hydrogène atomique (1842), on voit
ci-après qu'il
perd 2 masses élémentaires par
l'opération
{monopolaire → dipolaire} qui appelle la transition
boson W,
via les Bodys :
(206
+ 3480 + 1840)/3 = 1842 = (–2 + 206 + 3480)/2
|
Ces paires –
toujours
présentes – ont juste annulé leur masse
dans le
neutrino électronique.
Ainsi, DUO√5
indique que les
atomes sont composés de sphères
– non pas
accolées comme des grappes – mais comme des
sphères
empilés avec un centre commun (un peu comme les BECs). Si
l'ensemble du noyau comporte n positrons célibataires, alors
le
cortège orbital comportera n électrons.
Pourquoi ne
trouve-t-on pas de positrons stables à l'état
libre !
Tout simplement par une contrainte liée à la
forme
sphérique. Soit deux couches célibataires
(électron et positron) : dans le contexte des 3 intervalles
polarisés (quarks) des charges partielles
éloignent les
deux éléments. il y a
forcément une couche
plus au centre que l'autre. Cependant, on pourrait penser
qu'une parité statistique soit
à l'oeuvre. Ce
n'est pas le cas car à l'instant de la
délocalisation-séparation, sur l'aire du
BEC-fossile,
tout est causalement lié. L'aléa a choisi et
généralisé, le positron pour le centre
dans le
cadre de la probabilité 1/2.
S'agissant du muon (instable), on constate que toute la masse de
sa partie neutre qui disparaît.
La
transition W apporte donc le statut dipolaire aux 3 types de
neutrino
Il y a bien une
symétrie parfaite entre l'électron et le positron
Selon la loi
DUO√5, les neutrinos sont des Bodys à
l'échelle quantique, sous forme d'oscillateur dipolaire.
Comme les Bodys hors perturbation, leurs masses de pôles
contraires sont symétriques et donc strictement
égales à zéro. A cet égard,
ils sont de type Majorana. Tous types de perturbation,
révèlent tout ou partie de leur masse
intrinsèque. Cela est conforme aux différentes
mesures astrophysiques qui montrent clairement que le neutrino circule
à la vitesse de la lumière.
Cette énigme du MS vient encore et encore de cette manie
ancestrale de considérer le zéro physique comme
une valeur absolue (religieuse) alors qu'elle n'est que relative
à la symétrie d'un système.
Avec Christian MAGNAN nous répétons à
l'envie que le zéro absolu et l'infini, sont des notions de
dénombrement et en aucun cas des valeurs physiques.
Si le neutrino file à la vitesse de la lumière,
qu'est-ce qui le distingue du photon ?
Selon la loi DUO√5, le photon peut prendre toutes les valeurs
fractionnelles de l'électron car son énergie
dépend de sa fréquence. Mais cette
énergie ne s'exprime que lors d'une perturbation qui rompt
son équilibre ou sa symétrie.
Selon la loi DUO√5, le neutrino est fait de valeurs
entières d'électron. Le neutrino dit
"électronique" est juste un oscillateur stable entre un
positron et un électron. Il se distingue du positronium qui
lui est un assemblage instable. Le neutrino muonique est lui aussi un
oscillateur dipolaire mais constitué de 206
électron-positrons. Ce qui est appelé
(à tort) "oscillation des masses" est juste le
résultat d'une double complexité due aux
perturbations et au potentiel de différents assemblages
possibles.
En résumé, la question : "quelle est la masse du
neutrino ?" est mal formulée car le neutrino vaut
zéro hors perturbation et une certaine valeur > 0,
fonction du niveau de la perturbation. Le photon est le vecteur
progressif du retour des masses élémentaires
à l'état d'univers
représenté par les Bodys stochastiques. Il est
symétrisé avec l'échelle subquantique
à hauteur du niveau de sa fréquence. Les
neutrinos représentent l'image quantique des Bodys
subquantiques. En admettant la dualité des zéros
{absolu-symétrique} on résout directement
l'énigme de la vitesse des neutrinos dont la masse
résultante oscille entre 0 et >
0.
accueil
Neutrino
muonique
Le modèle
standard indique la
source du muon comme étant un produit de
désintégration des "rayons cosmiques". Mais le
MS ne
dit rien sur la cause des ces "rayons" relativistes. La loi
DUO√5 indique
qu'ils sont nés au centre de la Galaxie (ou d'une
autre)
par le phénomène de
saturation-séparation de pôles de Bodys.
La cause du "calibrage" en muon, est une énigme pour le
MS. La loi DUO√5 montre que ce
calibrage
précis est en relation directe avec les
ξ8 pôles
séparés sur le BEC-fossile et
également avec le
calibrage du
proton. Ces rayons cosmiques sont des paires de
création
non-locale
et donc
stables.
Ainsi quand elles heurtent les hautes couches de
l'atmosphère,
elles donnent des gerbes transitoires dont l'énergie
génère des créations
locales instables
telles que des mésons pi, ou neutrons.
C'est un
phénomène mixte où des sources stables
se
mélangent avec des éléments instables.
Mais
après disparition des transitions intermédiaires,
il
reste des muons et au final, des neutrinos muoniques et des neutrinos
électroniques tout à fait stables.
La loi DUO√5 répond à la
double question :
Comment
le muon instable et massique donne-t-il vie au
neutrino stable et non massique ?
Le neutrino muonique (de Majorana) se déplace à
la
vitesse de la lumière grâce à son
statut dipolaire
qui annule la masse et la charge de ces pôles selon :
muonique
électronique
électron
|
{102+ + 102– = 0}
+
{1+ + 1– = 0}
+ {e–}
|
Il comprend 204 élénents de la partie
neutre du muon
et le neutrino électronique en comprend 2, soit 206 en tout.
Ainsi un muon (état provisoire monopolaire instable) passe
du statut monopolaire
massique (via le boson W)au statut dipolaire
non massique, accompagné de l'électron
célibataire
éjecté. Les neutrinos
réputés à
masse nulle, sont également très sensibles aux
perturbations. Les collisions peuvent : a) créer une
asymétrie qui révèle tout
ou partie de leur
masse ; b) les faire changer de type "oscillation".
accueil
Bosons
W, Z et Higgs
L'énergie du Bodys (1D) – ξ
fois supérieure à celle
de l'électron
– doit passer par l'étranglement du couplage de
type
{1D/2D} des particules faites de couches 2D. Ainsi, le ratio universel
d'extraction est réduit à : √ξ.
Ils sont également réduits du
coefficient (2/5
pour le W) hérités de la mitose fractale
régie par les 5
premiers nombres de Fibonacci (1,2,3,5,8).
Enfin ils sont augmenté du ratio
d'habillage de
l'électron (on a vu qu'il est égal au ratio
d'anomalie du
moment mangétique) soit αe.
Les bosons de jauge sont des extractions fugaces issues des Bodys. Ceux
qui évoquent l'incertitude quantique pour
tenter de
le justifier, ne font que reporter une
énigme vers
une autre ! La clé est le changement de statut {monopolaire→dipolaire}
! Cela aboutit à annuler la masse d'un neutrino, ce qui
nécessite une extension d'amplitude ΔL,
déduite de celle d'un Bodys.
Cette réduction fugace d'amplitude d'un Bodys, se
traduit par un ajout ΔM
vers
la particule émettrice. La délocalisation
d'amplitude
relative au mode dipolaire aquis par le neutrino, lui
confère
une plus grande vitesse intrinsèque qui évite
l'annihilation des pôles opposés lors de leur
rencontre au
point zéro. La fugacité du boson W tient au
ré-équilibrage ultra-rapide des Bodys. Le Bodys
"amputé" partage son altération ΔL
de telle sorte qu'elle disparaisse rapidement. Mais le
ratio limité à √ξ
ne donne pas une amplitude des neutrinos aussi vaste que celle d'un
Bodys. Donc si la masse intrinsèque des pôles
opposés des neutrinos, est √ξ
fois plus
faible que celle d'un électron, alors l'amplitude
est √ξ
fois plus grande. Cette position intermédiaire des
neutrinos,
les rend très sensibles aux perturbations. Ainsi, selon
l'intensité d'une collision, les effets sont les suivants :
a)
réduction d'amplitude et donc augmentation de la masse
(réduction du paquet d'ondes) ; b) asymétrie de
l'amplitude et donc révélation de tout ou partie
de la
masse d'un pôle. Cela devrait expliquer les changements de
type,
relatifs aux "oscillations".
W
=
(2/5)
√ξ
αe =
1.573438919×105 = 80.40256353 GeV
|
ce qui correspond à la mesure : 80.403(29)
GeV
Le boson Z (relatif au
déplacement des charges dans le neutron) est
de coefficient 5/11.
Il est diminué du coefficient correcteur : αz
= (1 + 1/5α + 1 / πα²)
= 1.001476421 :
Z
=
(5/11)
√ξ
αz =
1.784497651×105 = 91.18765121 GeV
|
ce qui correspond parfaitement à mesure : 91.1876(26) GeV
Le boson de
Higgs est de coefficient 5/8. Il est
corrigé par le ratio diminué du
coefficient αh
=
αe
/ σ,
soit le ratio de couplage : 1841 / P = 1.0026 :
H
=
(5/8)
√ξ αh
=
245.3679238×105 = 125.38275 GeV
|
ce qui correspond parfaitement à mesure : 125.35(15) GeV
Il faut noter la
cohérence
avec la relation entre le nombre d'élements
d'un groupe
(P/4) et le passage étranglé √ξ
au canal de couplage caractérisé par le changement de dimensions de ratio : 1D /2D :
αeo
–
1 = P
/ 4
√ξ
=
0.001167533543
|
Le boson W
provoque le changement de statut : {monopolaire →
dipolaire} qui fait disparaître la masse
apparente. En remplaçant √ξ
par P/4
, on obtient tous les types de boson, à l'image de celui
de Higgs
H
=
(5/25)
P αh
(αeo
–
1)
=
245.3679238×105 = 125.38275 GeV
|
Le boson de Higgs est bien en relation avec le proton P,
mais il n'est la cause de sa masse qu'au travers la
séparation des pôles de Bodys, sur l'aire du
BEC-fossile
La concordance
très précise, des relations via
ξ entre
des paramètres bien
mesurés, comme
P et
αe,
permettent du fixer G avec les
seuls
paramètres de l'électron:
G = ƛe3 / me te²
ξ4
=
6.67242083389×10–11 m3 s–2 kg–1
|
Cela est compatible avec la mesure de mon collègue
James Faller : 6.67234(14)×10–11
m3 s–2 kg–1,
effectuée en 2010. Après l'avoir
contacté,
Il est persuadé comme moi, que cette mesure (locale) fluctue
légèrement au cours du temps. Il est en
effet
possible que la cause vienne de la variation locale
du flux
de DM relativement à la trajectoire de la Terre. Mais le
résultat ci-dessus, est celui qui est
hérité des
conditions initiales (en 1D,
ξ4 Bodys),
présentent sur l'aire du BEC-fossile.
Les recoupements numériques dépendent de la haute
précisions des trois ratios clés de la
Bulle-Uunivers :
ξ
=
1.54581978821817×1011
|
Les unités naturelles [L, M, T] sont celles de
l'électron : ƛe me te
La
catastrophe du "vide"
L'expérience
de Casimir
consiste à mesurer la force attractive entre 2
plaques de surface A, séparées par un
intervalle L. La relation de Casimir est donnée par :
En vertu de ML
= Cte et avec la même constante de temps
te,
la force interne d'un Bodys est égale à la force
d'un électron
Fe
= me
ƛe /
te2
= mo
RBEC /
te2
|
En posant : la surface A =
ƛe² ;
l'intervalle L = longueur de Planck (
ξ2
fois plus petit que
ƛe)
; le ratio
ξ3
existant entre le nombre de Bodys et le nombre
d'électron-positrons faisant masse de la
Bulle-Univers, on
obtient:
Fp
= ƛe2
ξ3 ħ c /
lp4 = ξ11
Fe
|
Au ratio ( π²/240
) près, on obtient : ξ11 =
1.2×10123, le ratio de
la catastrophe du vide". Cela vient confirmer le ratio : ξ3
= Nb Bodys / Nb électrons.
Le modèle
standard considère que la cause de
cette force provient des oscillations peuplant le
"vide".
L'intervalle entre les plaques réalisant une
coupure de
fréquences, seules les fréquences
externes agissent
sur les plaques en les poussant l'une contre l'autre. Pour
DUO√5,
ces oscillations sont le résultat des perturbations
(ou
couplage) de la matière sur les Bodys. Ce sont elles qui
"habillent" les électrons et les particules. Mais
DUO√5 indique
que les plaques plongées la trame subquantique des
Bodys,
viennent contrarier les forces de Laplace qui tend à
écarter les Bodys entre eux. En effet, (hors perturbation)
les
pôles voisins de charges contraires – en
déplacement – se comportent comme des courants
contraires
qui tendent à écarter les conducteurs. Mais les
plaques
ont tendance à immobiliser localement les charges. Ainsi,
ces
charges contraires (celles des pôles subquantiques et non
celles
des plaques), génèrent la force
de Coulomb qui
attire les pôles voisins entre eux, attirant ainsi,
les plaques entre elles. Avec l'intervalle
élémentaire ƛe, on retrouve la
force attractive d'un électron, mulitplié par le
ratio ξ3 :
FBodys
=
ξ3 ħ c / ƛe2 =
ξ3
Fe
|
Comme ces forces transitent par le couplage
{matière→Bodys}
et que lui-même est sous forme de fréquences, on
doit
conclure que les deux phénomènes sont
équivalents
au ratio ( π²/240
) près. Pour DUO√5, la force maximale de Casimir
sature à ξ3
fois la force d'un électron (ex-pôle de Bodys).
Cette "catastrophe du vide" correspond aux ξ11
Bodys synchronisés matérialisant la
Bulle-Univers.
accueil
Durée
de vie : neutron et muon
La durée de
vie du neutron
fait l'objet de deux mesures qui ne s'accordent pas entre elles. Soit
880 s et 887 s. Le neutron , de masse : 1838.72
(unités électon habillé)
affiche une masse
supplémentaire de 2.57 unités
habillées (1844
unités nues) avec le proton alors que celui-ci est
donné
à 1841 unités nues. Pour 3 unités nues
supplémentaires, il affiche un écart de masse
habillée limité à 2.57.
DUO√5 montre que sa
masse neutre est identique à celle du proton soit
1840
(divisible par 8). Cela veut dire que son surcroît
d'habillage
est dû à la paire qui sera
éjectée sous
forme de neutrino (sans masse). C'est l'action du boson W qui
opère le changement de statut {monopolaire →
dipolaire}.
Il possède donc 2 paires célibataires
qui
interfèrent avec les 3 intervalles polarisés. Ce
surcroît d'habillage arrive à extraire une paire
de
pôles (en mode dipolaire) d'un Bodys.
proton
:
σp
=
1841/P
=
1.00263993654
|
neutron
:
σN
=
1844/N
=
1.00287005016
|
Dans les gerbes de
désintégration des rayons cosmiques, on voit par
exemple
les produits dérivés d'un proton relativiste
à 10
15 eV . Cela forme un ensemble cohérent d'au moins
8 particules,
lorsqu'elles sont exprimées en nombre entier
d'électron-positrons (loi KOIDE-MAREAU). Parmi les
contraintes
relatives à la cohérence de ce tableau,
il y a la
corrélation entre le nombre de quarks et le nombre n de
groupes (q = n-1). Le muon et le tauon ne forment qu'un seul
groupe ; les
mésons 3 groupes et les baryons
4groupes.
Les produits exotiques et ambigües de
désintégration du tauon (quarks u et d) sont
liés
à
son paradoxe unique, d'être divisible à
la fois
par 3 et 4. Pour éviter ce paradoxe il ne forme qu'un seul
groupe comme le muon, qui se modifie au moment de sa
désintégration.
en
unité
électron |
muon |
pion πo
|
pion +/- |
K+/- |
Ko |
proton (P) |
tauon |
neutron |
partie neutre nue |
206 |
270 |
276 |
972 |
978 |
1840 |
3480 |
1840 |
complet |
207 |
270 |
277 |
973 |
978 |
1841 |
3481 |
1844 |
mesurés habillés |
206.76 |
264.14 |
273.13 |
966.14 |
973.97 |
1836.15 |
3479.3 |
1838.72 |
Nb groupes |
1 |
3 |
3 |
3 |
3 |
4 |
1 |
4 |
Nb / groupe |
206 |
90 |
92 |
324 |
326 |
460 |
1160 |
460 |
Nb intervalles (quarks) |
0 |
2 |
2 |
2 |
2 |
3 |
0 |
3 |
3 neutrons |
= |
électron |
+ |
neutrino |
+ |
muon |
+ |
tauon |
+ |
protron |
3×1844 |
= |
1 |
+ |
2 |
+ |
207 |
+ |
3481 |
+ |
1841 |
Et ces relations exactes
:
1842 =
(206+3480+1840) / 3 = (–2+206+3480) / 2
|
Et enfin ces relations
entre les pions π
(270, 276) et les kaons Ko =
978 et K+/- = 972 :
Avec x = 2.
Toutes ces relations
impliquent le neutron avec ses 1844 unités nues dont une
paire
annule sa masse sous la forme d'un neutrino, via l'action du
W. Sa
durée de vie est une sous-harmonique du temps
élémentaire te
qui fixe le "pompage" des Bodys. DUO√5 montre que la
structure en couches du neutron (et du proton) est conforme aux 5+1
étapes de mitose d'intensité α² .
Le temps élémentaire d'un Bodys est largement
augmenté par le pompage à travers ces couches,
selon
:
tn
= te
(α²/2)5+1 / σN
=
880.1104417 s
|